
L’École de Paris, Collection Marek Roefler
Le musée de Montmartre présente une exposition inédite consacrée à l’École de Paris, à travers une sélection d’œuvres emblématiques d’une importante collection privée polonaise, la collection Marek Roefler.
Jusqu’au 1er mars 2025, la Galerie Roger-Viollet présente l’exposition « Un Abécédaire Littéraire Parisien, d’Aragon à Zola » où littérature et photographie invitent les amoureux de la capitale à une balade dans le Paris des écrivains.
D’Aragon à Zola, cet abécédaire littéraire parcourt les quartiers de la capitale qui ont abrité le quotidien des écrivains ou nourri leur imagination. Des cafés hantés par Paul Verlaine aux halles du Ventre de Paris d’Émile Zola, sans oublier les rues sombres qui poursuivent Modiano ou l’île de la Cité avec Aurélien de Louis Aragon, c’est autant d’invitations à des (re)lectures et à des déambulations dans leurs pas, au cœur de leurs lieux familiers.
La majorité des photographies est conservée à la Bibliothèque historique de la Ville de Paris (BHVP) et diffusée en exclusivité par la Galerie Roger-Viollet.
Cette exposition présente quatre-vingt tirages contemporains numérotés, en édition limitée.
Comme l’écrit l’académicien Antoine Compagnon en préface du livre éponyme qui accompagne l’exposition : « Traverser Paris, c’est déambuler dans la littérature : «Andromaque, je pense à vous!» Comme dans «Le cygne», le poème des Fleurs du mal de Baudelaire, tout devient allégorie. Les Français sont nés provinciaux, presque tous. Naguère, ils étaient paysans. Mais tout finit à Paris. S’ils écrivent, Paris est leur seconde petite patrie, plus celle des étrangers conquis par la «capitale du XIXe siècle», comme la nommait Walter Benjamin, c’est-à-dire la capitale de la photographie d’écrivain depuis Balzac – qui craignait que chaque cliché lui retirât une peau –, Hugo, Baudelaire, …
Une exposition passionnante !
→ A PROPOS DU FONDS PHOTOGRAPHIQUE ET DE LA GALERIE ROGER-VIOLLET
Créée en 1938 par Hélène Roger-Viollet, léguée à la Ville de Paris en 1994, l’agence Roger-Viollet est une référence internationale dans le secteur de l’archive photographique. Elle est une mosaïque de témoignages historiques d’une grande variété. Ce patrimoine de six millions d’images retrace l’histoire de la photographie, de la production des grands ateliers photographiques du Second Empire au photojournalisme contemporain.
En 2020, à la même adresse que l’agence, un nouvel espace a été transformé en une galerie dédiée à la photographie historique. Le lieu a conservé son âme et ses 300 mètres linéaires de boîtes d’archives photographiques, de couleur verte à l’écriture manuscrite si caractéristiques, visibles de la rue à travers sa longue façade vitrée.
Cette galerie unique à Paris est un passage incontournable pour les amoureux de Paris, d’histoire et de photo. Des expositions thématiques provenant des collections de l’agence sont présentées tout au long de l’année. Des tirages modernes peuvent être acquis sur place et sur le site internet de la galerie.
Exposition jusqu’au 1er mars 2025
Galerie Roger-Viollet, Paris
EXPOSITION « Un Abécédaire Littéraire Parisien, d’Aragon à Zola »
Galerie Roger-Viollet
6, rue de Seine, 75006 Paris
Tél. +33 1 55 42 89 00
Heures d’ouverture
du mardi au samedi
de 11H à 19h
Fermé les jours fériés
HORS-SÉRIE LITTÉRATURE
Éditions Gallimard
Prix : 26 €, Format : 190 x 240 mm, 120 pages, 90 illustrations

Le musée de Montmartre présente une exposition inédite consacrée à l’École de Paris, à travers une sélection d’œuvres emblématiques d’une importante collection privée polonaise, la collection Marek Roefler.

Pour la Menart Fair, la Galerie Bessières présente les photographies de Serge Najjar.
Vous reconnaîtrez son univers singulier où l’architecture, l’ombre et la lumière se conjuguent pour créer des compositions abstraites nourries par l’esthétique de l’Avant-garde et du Suprématisme.

Depuis sa redécouverte dans les années 1980, Camille Claudel a inspiré de grandes expositions monographiques. Sa renommée est aujourd’hui telle qu’elle pourrait laisser croire, à tort, qu’elle était la seule sculptrice femme de son époque.